Rencontre avec Adolfo Kaminsky

L’Association pour un Judaïsme Pluraliste
vous invite à une rencontre avec

Adolfo Kaminsky, le faussaire

Le mercredi 11 janvier 2017 à 19h30
au CCJ – ECJ, 4 bis rue des Bains, Grenoble

Adolfo Kaminsky
« Si je dormais une heure, trente personnes mourraient… »

En 1944, dans le Paris occuppé, quatre amis partagent leurs jours dans une pièce étroite d’un bâtiment de la Rive Gauche.
Les voisins croient qu’il sont peintres – une couverture pour expliquer les odeurs de produits chimiques.
En fait, ces amis sont membres d’une cellule de résistance juive.
Dans leur laboratoire clandestin, ils font des faux papiers pour des enfants et des familles qui risquent la déportation dans les camps d’extermination.
Le plus jeune membre de ce groupe, son directeur technique, est presqu’un enfant lui-même :
Adolfo Kaminsky a 18 ans.

Adolfo Kaminsky et son travail
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Participation libre aux frais

Logo AJP A l'initiative de l'Association pour un Judaïsme Pluraliste

en partenariat avec

Logo Cbl Le Cercle Bernard Lazare - Grenoble
Logo CCJ Le Centre Culturel Juif - Grenoble

Brèves

Notre tradition

Il y a longtemps, dans une synagogue d'Odessa avait lieu un service religieux.
La moitié des présents s'est mise debout, et l'autre moitié est restée assise.
Les assis ont commencé à réclamer que les autres se rassoient, et ceux qui étaient debout ont réclamé que les autres suivent leur exemple...
Le rabbin, qui ne savait pas quoi faire, décida de s'adresser au fondateur de la synagogue, le vieux Moïché. Il invita un représentant de chaque fraction, et ils allèrent tous chez Moïché pour lui demander conseil.
Le représentant des "debout" demanda :
- Être debout pendant le service – est-ce notre tradition ?
Moïché répondit :
- Non, ce n'est pas notre tradition.
Le représentant des "assis", tout content, demanda :
- Alors, se tenir assis pendant le service – est-ce notre tradition ?
Moïché répondit :
- Non, ce n'est pas notre tradition.
Le rabbin, perplexe, dit :
- Mais... pendant le service, une moitié se met debout et l'autre reste assise, et les querelles s'ensuivent...
- Voilà! - dit le vieux Moïché. - Ça, c'est notre tradition !