Table ronde : Agir pour l'accueil des migrants.

Souviens-toi que tu as été étranger ...

réfugiés en 1938

Dessin publié le 17 octobre 1938 dans le Daily Express britannique montrant les réfugiés des territoires occupés par les nazis et la réticence des autres pays à les accueillir

Jeudi 2 février 2017 à 19 h 30
au CCJ, 4 bis rue des Bains, Grenoble

Ici et maintenant

Bernard Pouyet

Président honoraire de l'université Pierre Mendès France.
Co-Président de l'Association de Parrainage Républicain
des Demandeurs d'Asile et de Protection (APARDAP)
.
Membre du collectif Migrants en Isère

Représentation des réfugiés dans l'imaginaire collectif

Mariyem Moutaouakkil

Etudiante en école d'architecture à Nancy


L'accueil et le droit

Michel Bénichou

Avocat, ancien Bâtonnier, premier vice-président des Barreaux européens

Pourquoi s'engager ?

Nissim Sultan

Rabbin du Consistoire Israélite de Grenoble (CIG Bar Yohaï),
co-animateur du projet Croyants dans la Cité


compte rendu du Dauphiné Libéré

Brèves

Notre tradition

Il y a longtemps, dans une synagogue d'Odessa avait lieu un service religieux.
La moitié des présents s'est mise debout, et l'autre moitié est restée assise.
Les assis ont commencé à réclamer que les autres se rassoient, et ceux qui étaient debout ont réclamé que les autres suivent leur exemple...
Le rabbin, qui ne savait pas quoi faire, décida de s'adresser au fondateur de la synagogue, le vieux Moïché. Il invita un représentant de chaque fraction, et ils allèrent tous chez Moïché pour lui demander conseil.
Le représentant des "debout" demanda :
- Être debout pendant le service – est-ce notre tradition ?
Moïché répondit :
- Non, ce n'est pas notre tradition.
Le représentant des "assis", tout content, demanda :
- Alors, se tenir assis pendant le service – est-ce notre tradition ?
Moïché répondit :
- Non, ce n'est pas notre tradition.
Le rabbin, perplexe, dit :
- Mais... pendant le service, une moitié se met debout et l'autre reste assise, et les querelles s'ensuivent...
- Voilà! - dit le vieux Moïché. - Ça, c'est notre tradition !