Marco Podda est né à Trieste en 1963, où il fit des études de médecine, spécialités oto-rhino-laryngologie et phoniatrie. Parallèlement à ses études de médecine, il apprit le chant avec Dietrich Schneider et Renée Jacobs, la guitare classique avec Ennio Guerrato, la direction de chorale avec Hans Ludwig Hirsh et la direction d'orchestre avec Donato Renzetti.
Fondateur et directeur de l'ensemble choral Cappella Tergestina, Marco Podda dirige et administre également "Schola Cantorum St Eymard" et la chorale Kodesh Vechol
Il est le référent phoniâtre de divers théâtres italiens et enseigne "l'anatomie-physiologie de la communication vocale" à l'université de Trieste, assurant les cours annuels, semestriels et les "master classes" sur les "techniques de la communication vocale et de la sonorisation". Dans les années récentes, il publia et co-publia de nombreux articles scientifiques relatifs à la voix parlée et chantée, la communication vocale et la "méta-linguistique musicale."
Il exerce et
développe une intense activité de composition de
musique instrumentale pour voix solo et voix
accompagnée, pour chorale acappella et pour chorale
accompagnée, et pour chorale avec orchestre.
Il écrit également des pièces de
théâtre et de micro-théâtre
musical.
Il a reçu de nombreux prix nationaux et internationaux. ses compositions sont publiées et jouées en Italie et à l'extérieur, et enregistrées par des éditeurs tels que Carrara, Pizzicato, Audio Ars Studio, Erato, et pour le réseau national italien RAI.
Brèves
Il y a longtemps, dans une synagogue d'Odessa avait lieu un service religieux.
La moitié des présents s'est mise debout, et l'autre moitié est restée assise.
Les assis ont commencé à réclamer que les autres se rassoient,
et ceux qui étaient debout ont réclamé que les autres suivent leur exemple...
Le rabbin, qui ne savait pas quoi faire, décida de s'adresser au fondateur
de la synagogue, le vieux Moïché.
Il invita un représentant de chaque fraction, et ils allèrent tous chez Moïché
pour lui demander conseil.
Le représentant des "debout" demanda :
- Être debout pendant le service – est-ce notre tradition ?
Moïché répondit :
- Non, ce n'est pas notre tradition.
Le représentant des "assis", tout content, demanda :
- Alors, se tenir assis pendant le service – est-ce notre tradition ?
Moïché répondit :
- Non, ce n'est pas notre tradition.
Le rabbin, perplexe, dit :
- Mais... pendant le service, une moitié se met debout et l'autre reste assise,
et les querelles s'ensuivent...
- Voilà! - dit le vieux Moïché. - Ça, c'est notre tradition !
