Accueil Bernard Lazare Le Cbl Grenoble
Avec d'autres associations, le Cercle oeuvre
contre le racisme,
l'antisémitisme et pour la défense des Droits de l'Homme
Avec d'autres associations, Le Cercle oeuvre également pour
Dans la conjoncture présente d'une radicalisation du conflit du Proche-Orient
le CBL-G estime que la paix doit être fondéee sur :
Le Cercle est conscient de la complexité des problèmes politiques, religieux, symboliques à Jérusalem. Il souhaite une solution pour la capitale de l'Etat palestinien qui évite le retour de la partition de Jérusalem. La souveraineté sur les Lieux Saints est une question qui met en jeu des symboles trà¨s forts, et des problà¨mes de sécurité. Une solution à ce problème devra respecter ces charges symboliques.
Historiquement, le Cercle a été lié au MAPAM, parti de la gauche israélienne,
puis plus récemment aux forces et courants politiques luttant pour la paix :
Le Cercle agit localement dans le domaine culturel, par l'organisation
en vue de faire connaître dans la cité la variété des cultures juives.
Il a créé la chorale Diasporim Zinger, qui compte aujourd'hui plus d'uns cinquantaine de choristes
Il oeuvre pour garder vivante la mémoire de la shoah, et s'intéresse aux luttes d'autres communautés pour faire reconnaître leur histoire.
Il s'efforce de s'inscrire dans un mouvement de dialogue entre diverses composantes de la société civile, source d'enrichissement intellectuel.
Dans son travail, le Cercle a noué des liens avec diverses Institutions et Associations
Brèves
Il y a longtemps, dans une synagogue d'Odessa avait lieu un service religieux.
La moitié des présents s'est mise debout, et l'autre moitié est restée assise.
Les assis ont commencé à réclamer que les autres se rassoient,
et ceux qui étaient debout ont réclamé que les autres suivent leur exemple...
Le rabbin, qui ne savait pas quoi faire, décida de s'adresser au fondateur
de la synagogue, le vieux Moïché.
Il invita un représentant de chaque fraction, et ils allèrent tous chez Moïché
pour lui demander conseil.
Le représentant des "debout" demanda :
- Être debout pendant le service – est-ce notre tradition ?
Moïché répondit :
- Non, ce n'est pas notre tradition.
Le représentant des "assis", tout content, demanda :
- Alors, se tenir assis pendant le service – est-ce notre tradition ?
Moïché répondit :
- Non, ce n'est pas notre tradition.
Le rabbin, perplexe, dit :
- Mais... pendant le service, une moitié se met debout et l'autre reste assise,
et les querelles s'ensuivent...
- Voilà! - dit le vieux Moïché. - Ça, c'est notre tradition !